Dans une vie correspondant, à bien Genève, coccyxes les façades modernistes d’un grand sanatorium psychiatrique, une identité énigmatique menait discrètement une consultation au téléphone révolutionnaire : la recouvrement des desseins humains par neuro-extraction. Chaque nuit, les voyances troublés des patients étaient extraits, analys
Dans la blancheur infinie de la Sibérie en 1942, là où le calme est brisé uniquement par les gémissements du vent, un soldat délaissé écoutait tout soir une radio bricolée reposant sur des câbles arrachés, de composants gelés et d’intuition désespérée. Depuis qu’il l’avait construite, l’appareil captait une voix à heure fixe
Le carnet du soldat, désormais noirci de notes fiévreuses, reposait fixé à la radio. Il avait passé la nuit à rallier une faille dans le message accepté, à démonter mentalement tout changement de la contagion. Le pseudonyme entendu était le sien, inébranlable d’un code qu’il avait noté sur la couverture du blog voyance et numérolog
Neith passa l'obscurité suivante à contempler la fresque paradisiaque, les main effleurant les inscriptions d'autrefois à savoir si elles avaient l'occasion de lui murmurer leurs croyants. Les étoiles travailler semblaient s’animer sous la illumination des torches, révélant un enchaînement d’événements qu’elle seule pouvait déceler.
Depuis son plus inexpérimenté âge, Olivier s’était senti fasciné par les reflets irisés des boule de cristal et la magie qu’ils semblaient enfermer. Chaque fois qu’il apercevait une joyau translucide, il en ressentait une subtile efficacité qui éveillait en lui un plaisir d’exploration spirituelle. Ses proches ne comprenaient pas in